Love letters to the dead, Ana Dellaira, Philippe Mothe, Michel Lafon.
May est morte. Mais plutôt que d’adresser sa lettre à sa sœur défunte – devoir scolaire imposé -, l’héroïne choisit s’adresser à de nombreuses personnalités décédées.
Bien sûr, à travers la succession de lettres, un réseau d’indices se crée sur le pourquoi du comment du décès. En parallèle, on suit le quotidien de la narratrice, somme toute très banal. Du coup, entre le trop-plein de suspense par manque de révélations et la platitude des faits narrés, l’on s’ennuie. C’est bien ballot.